HALIFAX |
TERRAIN BALISE |
Au
cœur de ces paysages grandioses et inconnus, obscurcis par la nuit, il
faut à tout prix trouver le terrain défini par différents
codes et le contenu d’un message secret.
Ignorant cette guerre de l’ombre pendant cette période d’occupation, un soir de clair de lune, je vis un lourd bombardier passant à basse altitude tous feux éteints au dessus de la ville… surprise totale ! Quel était donc cet avion bruyant bravant la chasse de nuit allemande ? J’ai compris tardivement, quelques mois après la libération, la signification de ces vols de nuit mystérieux. Le parachutage d’armes et de munitions indispensables à la résistance ornaise… Telle était la mission de ces bombardiers en plein territoire occupé …au nez et a la barbe des DCA germaniques et bien sûr des chasseurs de nuit de la Luftwaffe toujours aux aguets...
Qui devions nous admirer le plus en ces nuits de pleine lune… le sang froid de ces équipages du Commonwealth composé majoritairement d’anglais, canadiens, australiens, sud africains, néo zélandais et polonais.. ou la détermination des comités de réception au sol, composés d’hommes au courage énorme, conscients du danger mais préts à se sacrifier pour la cause de la résistance ?
« Le premier parachutage dans l’Orne eut lieu sur le terrain du Vieux Montmerrei le chef de terrain était Chevreuil de Mortrée. Je l’ai rejoins à 22 heures avec son équipe composée d’une dizaine d’hommes de Mortrée dont le brigadier de gendarmerie. Vers minuit l’avion est apparu et nous a lâché des colis 12 containers, 11 d’armes contenant deux FM, des mitraillettes Sten, des pistolets et des munitions plus le colis spécial contenant tabac cigarettes et thé » (source: Archives de l'Orne).
Avions ravitailleurs de maquis abattus en cours de mission dans le département de l’Orne, avant et après le débarquement du 6 Juin 1944.
En général, ces avions britanniques étaient lourdement chargés et le fait de voler à basse altitude représentait un handicap certain.
_____Le 12 Août 1943, un Halifax du 138 eme Squadron basé à Tempsford, en mission SOE, touché par la flak en volant à une altitude de 500 mètres, s'abattait vers 23.30 heures dans un herbage en bordure Est du bois du Frileux, commune d'Ecorcei (Orne).
L'avion ravitailleur de maquis préparait un lancer de parachutes pour le réseau clandestin Spruce 20 /21. Deux aviateurs Foster et Cameron furent tués et inhumés au cimetière d'Ecorcei, trois aviateurs grièvement brûlés se rendront aux allemands après s'être réfugiés au château des Graviers. Deux autres, Scott et Trusty, réussissent à s'échapper vers le village des Genettes puis vers Moulin la Marche.
____Dans la nuit du 9 au 10 Mai 1944 un short Stirling du 90 eme Squadron basé à Tudenham, Suffolk, est touché par la batterie de Berniéres le Patry et s'écrase vers 23H45 à Saint Jean des Bois (Tinchebray). Trois hommes d'équipage sont cachés dans la forêt de Ger (Témoignage de André Rougeyron) et ravitaillés par un cultivateur Henri Durand habitant les Gériers.
"Nous partons pour la forêt et après plusieurs appels découvrons trois gaillards bizarrement accoutrés s'approchant craintivement". Il s'agissait de Ph. Green, Royston John et de Charles Potten. "Par la suite, j'apprends que le docteur Ledos a été arrêté, et je demande à Bourgoin d' abriter mes pensionnaires à l'Ermitage". Green témoigne "C'était mon 31 eme vol et nous avions pour mission de lâcher armes et approvisionnement sur un terrain situé dans le sud de la France. Nous devions effectuer ce trajet en respectant un horaire rigoureux, franchir la côte immédiatement après le crépuscule et au retour, être hors de France avant l'aurore. Nous volions prés du sol sans avoir éveillé exagérément les défenses allemandes. Nous avons été touchés par la DCA (Il s agissait de la DCA de Berniéres le Patry ). Moteur tribord en feu, moteur bâbord hors d'usage. Trop bas, nous ne pouvions sauter en parachute. Il fallait donc s'écraser avec la machine... L'un après l'autre, nous sommes sortis dans l'herbe longue et drue, une bonne terre de France ferme et sûre" témoignera l’un des rescapés.
_____
Tous les autres échecs c'est a dire entre la moitié et les deux tiers eurent pour origine l'absence du comité de réception generalement comme ne pouvaient lignorer les aviateurs pour des raisons indépendantes de sa volonté
En effet la menace d'une intervention des troupes de la wechrmach surveillant prairies et forêts était toujours présente surtout aprés le couvre feu
Meme
si l'avion et le comité arrivaient tous deux au bon endroit le
parachutage pouvait poser probléme seul les pilotes les plus
expérimentés savaient évaluer avec précision leur altitude
Ignorant cette guerre de l’ombre pendant cette période d’occupation, un soir de clair de lune, je vis un lourd bombardier passant à basse altitude tous feux éteints au dessus de la ville… surprise totale ! Quel était donc cet avion bruyant bravant la chasse de nuit allemande ? J’ai compris tardivement, quelques mois après la libération, la signification de ces vols de nuit mystérieux. Le parachutage d’armes et de munitions indispensables à la résistance ornaise… Telle était la mission de ces bombardiers en plein territoire occupé …au nez et a la barbe des DCA germaniques et bien sûr des chasseurs de nuit de la Luftwaffe toujours aux aguets...
Qui devions nous admirer le plus en ces nuits de pleine lune… le sang froid de ces équipages du Commonwealth composé majoritairement d’anglais, canadiens, australiens, sud africains, néo zélandais et polonais.. ou la détermination des comités de réception au sol, composés d’hommes au courage énorme, conscients du danger mais préts à se sacrifier pour la cause de la résistance ?
« Le premier parachutage dans l’Orne eut lieu sur le terrain du Vieux Montmerrei le chef de terrain était Chevreuil de Mortrée. Je l’ai rejoins à 22 heures avec son équipe composée d’une dizaine d’hommes de Mortrée dont le brigadier de gendarmerie. Vers minuit l’avion est apparu et nous a lâché des colis 12 containers, 11 d’armes contenant deux FM, des mitraillettes Sten, des pistolets et des munitions plus le colis spécial contenant tabac cigarettes et thé » (source: Archives de l'Orne).
Avions ravitailleurs de maquis abattus en cours de mission dans le département de l’Orne, avant et après le débarquement du 6 Juin 1944.
En général, ces avions britanniques étaient lourdement chargés et le fait de voler à basse altitude représentait un handicap certain.
_____Le 12 Août 1943, un Halifax du 138 eme Squadron basé à Tempsford, en mission SOE, touché par la flak en volant à une altitude de 500 mètres, s'abattait vers 23.30 heures dans un herbage en bordure Est du bois du Frileux, commune d'Ecorcei (Orne).
L'avion ravitailleur de maquis préparait un lancer de parachutes pour le réseau clandestin Spruce 20 /21. Deux aviateurs Foster et Cameron furent tués et inhumés au cimetière d'Ecorcei, trois aviateurs grièvement brûlés se rendront aux allemands après s'être réfugiés au château des Graviers. Deux autres, Scott et Trusty, réussissent à s'échapper vers le village des Genettes puis vers Moulin la Marche.
_____Concernant un Halifax de la RAF du même Squadron, chargé
également d'une mission de parachutages, un témoin se souvient le 17 Août 1943,
avoir vu un avion pris dans les projecteurs de la Flak d'Aube Saint Esprit "Celui-ci
volait si bas que l'on apercevait les hommes à bord ". L'avion toucha
la ligne à haute tension, explosa puis s'écrasa sur la commune d'Aube, prés du
lieu dit "Les vallées ". Des explosions s'en suivirent pendant
plusieurs heures. L'appareil transportait des munitions et des pigeons
voyageurs destinés au maquis dans le cadre d'une opération du réseau.
Le pilote Norman Hayter de nationalité australienne et quatre aviateurs anglais furent tués sur le coup. Les deux survivants, les Sgt WS Davies et JA Hutchinson décédèrent de leurs brûlures et seront inhumés au cimetière de Bernay.
En 1944 plusieurs bombes tombèrent à l'endroit du crash. Elles visaient certainement la batterie allemande située à proximité.
Pour être présent au rendez vous et échapper aux tirs de la DCA et aux chasseurs de nuit de la Luftwaffe, l’avion anglais décollant de Temsford, doit naviguer feux éteints dans la pénombre, repérant les points stratégiques, lacs, ponts, lignes de chemin de fer, cours d’eau, villes calfeutrées... toutes sortes de signes distinctifs avant de trouver enfin un terrain identifié par la présence au sol de lampes torches formant une lettre de reconnaissance. Il s’agit de larguer à cet endroit précis les containers de munitions et de médicaments attendus par les résistants.
Le pilote Norman Hayter de nationalité australienne et quatre aviateurs anglais furent tués sur le coup. Les deux survivants, les Sgt WS Davies et JA Hutchinson décédèrent de leurs brûlures et seront inhumés au cimetière de Bernay.
En 1944 plusieurs bombes tombèrent à l'endroit du crash. Elles visaient certainement la batterie allemande située à proximité.
Pour être présent au rendez vous et échapper aux tirs de la DCA et aux chasseurs de nuit de la Luftwaffe, l’avion anglais décollant de Temsford, doit naviguer feux éteints dans la pénombre, repérant les points stratégiques, lacs, ponts, lignes de chemin de fer, cours d’eau, villes calfeutrées... toutes sortes de signes distinctifs avant de trouver enfin un terrain identifié par la présence au sol de lampes torches formant une lettre de reconnaissance. Il s’agit de larguer à cet endroit précis les containers de munitions et de médicaments attendus par les résistants.
________Les américains des "Carpetbaggers"
sont venus à la rescousse. Le 5
Avril 1944, un Liberator du 801
BG / 406 BS touché par la DCA de Berniéres le Patry (Calvados) s'abattait
au lieu dit "Les Haieries" ou "Anfernel" (3 kilomètres au nord
ouest de Tinchebray). Ce bombardier de l'USAF en mission SOE avait décollé de
Harrington à 22 heures pour ravitailler le maquis de Sainte Marguerite. Six
membres d'équipage seront tués lors du crash et inhumés à Truttemer le grand. Le
lieutenant Kalbfleisch rescapé témoigne
" résistance lorsqu'un obus a touché le compartiment du navigateur. A 150 mètres, nous avons sauté et l'appareil s'est écrasé aussitôt après. Les allemands nous ont tiré dessus pendant que nous descendions. Je n'ai pas eu le temps de cacher mon parachute et je l'ai jeté dans une rivière proche"
Le sergent Porter autre rescapé est tombé à proximité des batteries de DCA allemandes "J'ai passé une haie, je l'ai suivie en courant en passant prés de plusieurs pièces de DCA à ma gauche et à ma droite… évitant ainsi de justesse ceux en fait qui nous avaient abattus"
" résistance lorsqu'un obus a touché le compartiment du navigateur. A 150 mètres, nous avons sauté et l'appareil s'est écrasé aussitôt après. Les allemands nous ont tiré dessus pendant que nous descendions. Je n'ai pas eu le temps de cacher mon parachute et je l'ai jeté dans une rivière proche"
Le sergent Porter autre rescapé est tombé à proximité des batteries de DCA allemandes "J'ai passé une haie, je l'ai suivie en courant en passant prés de plusieurs pièces de DCA à ma gauche et à ma droite… évitant ainsi de justesse ceux en fait qui nous avaient abattus"
___Le 11 Avril
1944 vers 23h15, un Halifax en
mission de ravitaillement des maquis de la région touché par la DCA, passait en
flammes au dessus du bourg de la petite Savetiére (Commune de Sainte Gauburge)
en éclairant les maisons d'une immense lueur. Ses moteurs tournant à plein régime,
il s'écrasait à environ 200
mètres de la route de Paris. On retrouvera dans les débris
une grande quantité de produits pharmaceutiques, postes radio, destinés au
maquis. Les huit membres de l'équipage Anglais et Canadiens sont enterrés à Saint Hilaire sur Rille prés de Aube
(Orne).
____Dans la nuit du 9 au 10 Mai 1944 un short Stirling du 90 eme Squadron basé à Tudenham, Suffolk, est touché par la batterie de Berniéres le Patry et s'écrase vers 23H45 à Saint Jean des Bois (Tinchebray). Trois hommes d'équipage sont cachés dans la forêt de Ger (Témoignage de André Rougeyron) et ravitaillés par un cultivateur Henri Durand habitant les Gériers.
"Nous partons pour la forêt et après plusieurs appels découvrons trois gaillards bizarrement accoutrés s'approchant craintivement". Il s'agissait de Ph. Green, Royston John et de Charles Potten. "Par la suite, j'apprends que le docteur Ledos a été arrêté, et je demande à Bourgoin d' abriter mes pensionnaires à l'Ermitage". Green témoigne "C'était mon 31 eme vol et nous avions pour mission de lâcher armes et approvisionnement sur un terrain situé dans le sud de la France. Nous devions effectuer ce trajet en respectant un horaire rigoureux, franchir la côte immédiatement après le crépuscule et au retour, être hors de France avant l'aurore. Nous volions prés du sol sans avoir éveillé exagérément les défenses allemandes. Nous avons été touchés par la DCA (Il s agissait de la DCA de Berniéres le Patry ). Moteur tribord en feu, moteur bâbord hors d'usage. Trop bas, nous ne pouvions sauter en parachute. Il fallait donc s'écraser avec la machine... L'un après l'autre, nous sommes sortis dans l'herbe longue et drue, une bonne terre de France ferme et sûre" témoignera l’un des rescapés.
Inutile de dire qu'un bombardier lourd occupé à largeur du matériel volant ailerons baissés juste au dessus de la vitesse minimale de sustentation et dont l'équipage n'a d' yeux que pour tout ce qui se passe en dessous de lui constituait du point de vue de la chasse ennemie une cible révée surtout lorsque la zone de parachutage était enclose entre des hauteurs ce qui réduisait les chances du pilote de s échapper aprés l action
La navigation présentait des difficultés toutes particuliéres pour l'équipage emission spéciale qui pour mener sa tâche a bien devait être capable de repérer avec la plus grande précision une cible minuscule et souvent mal définie aprés avoir volé de nuit pendant des heures au dessus du territoire ennemi
La navigation tant durant l ensemble du trajet qu' a l 'approche de la cible devait être de premier ordre
Les comités de réception avaient l' ordre de choisir des sites aisément repérables du ciel et
L'avion devait chercher des lumiéres destinées a le guider qui devaient etre cachées par un bois ou plongées dans les profondeurs d une vallée Le navigateur devait presque toujours recourir a la lecture des cartes et a la navigation a l'estime ce qui exigeait du pilote qu il vole à basse altitude au dessus de l 'europe occupée
Vers le milieu de la guerre un systéme radar amélioré et embarqué pouvait trouver sa place dans la cabine du navigateur lui facilitant ainsi la detection d un objectif dissimulé dans unflot de verdure
Des terrains furent équipés d un nouvel équipement l Euréka facilitant le contact entre le sol et l avion a a recherche de son objectif
Le dixiéme environ des echecs nocturnes était dû comme le reconnaissent les pilotes a des erreurs de navigation ,ils ne trouvaient pas leur zone de largage ,Moins d un sur vingt a une défaillance technique de l appareil les ateliers de Temsford fournissant généralement un excellent travail d entretien Soit les conditions étaient si mauvaises que l avion devait revenir a sa base avant d etre arrivé dans la région visée soit il la trouvait mais obscurcie par les nuagesTous les autres échecs c'est a dire entre la moitié et les deux tiers eurent pour origine l'absence du comité de réception generalement comme ne pouvaient lignorer les aviateurs pour des raisons indépendantes de sa volonté
En effet la menace d'une intervention des troupes de la wechrmach surveillant prairies et forêts était toujours présente surtout aprés le couvre feu
EMETTEUR RECEPTEUR |
___En 1944 plusieurs bombes tombèrent à l'endroit du crash. Elles visaient
certainement la batterie allemande située à proximité.
LIBERATOR |
Les américains des "Carpetbaggers" sont venus à la rescousse. Le 5 Avril 1944, un Liberator du 801 BG / 406 BS touché par la DCA de Berniéres le Patry (Calvados) s'abattait au lieu dit "Les Haieries" ou "Anfernel" (3 kilomètres au nord ouest de Tinchebray). Ce bombardier de l'USAF en mission SOE avait décollé de Harrington à 22 heures pour ravitailler le maquis de Sainte Marguerite. Six membres d'équipage seront tués lors du crash et inhumés à Truttemer le grand. Le lieutenant Kalbfleisch rescapé témoigne
"résistance lorsqu'un obus a touché le compartiment du navigateur. A 150 mètres, nous avons sauté et l'appareil s'est écrasé aussitôt après. Les allemands nous ont tiré dessus pendant que nous descendions. Je n'ai pas eu le temps de cacher mon parachute et je l'ai jeté dans une rivière proche"
Le sergent Porter autre rescapé est tombé à proximité des batteries de DCA allemandes "J'ai passé une haie, je l'ai suivie en courant en passant prés de plusieurs pièces de DCA à ma gauche et à ma droite… évitant ainsi de justesse ceux en fait qui nous avaient abattus"
______Le 11 Avril
1944 vers 23h15, un Halifax en
mission de ravitaillement des maquis de la région touché par la DCA, passait en
flammes au dessus du bourg de la petite Savetiére (Commune de Sainte Gauburge)
en éclairant les maisons d'une immense lueur. Ses moteurs tournant à plein régime,
il s'écrasait à environ 200
mètres de la route de Paris. On retrouvera dans les débris
une grande quantité de produits pharmaceutiques, postes radio, destinés au
maquis. Les huit membres de l'équipage Anglais et Canadiens so enterrés à Saint Hilaire sur Rille prés de Aube
(Orne).
SHORT STIRLING |
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____Témoignage personnel:crash de Larré
L ANCASTER |
Wilkinson |
BATTERIE DE DCA a BURSARD (bois roussel ) |
photo trouvée dans l épave du lancaster |
J ai noté que Noel Archer avait identifié l une des
victimes Wilkinson grace à une photo de mariage trouvée dans les débris de l'épave
L examen de l épave sera realisé en janvier 1945 ( par Noel
Archer services spéciaux " MRES" accompagné de Charles Hayton
Monument la Chouannerie ( larré )
La composition de l 'équipage est restée longtemps discutée aussi avec mme Shirley Stone nous navons jamais pu résoudre l énigme de la présence d une septieme victime et de cette croix posée par les habitants
Canada wr Fournier we Linning dw Smith | Grande Bretagne e Crossley mGrasso MC Wilkinson |
La composition de l 'équipage est restée longtemps discutée aussi avec mme Shirley Stone nous navons jamais pu résoudre l énigme de la présence d une septieme victime et de cette croix posée par les habitants
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