
Les saules pleureurs sur les bords de l orne Vue du pont de Putanges



Cesar Martinelli debout au milieu ( une cigarette dans la main gauche )

Cesar Martinelli et son aumonier
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( Rédaction provisoire )
Le camp de Choisel est un camp d'internement situé en France, dans la commune de Châteaubriant, en Loire-Atlantique (à l’époque « Loire-Inférieure »).
Après avoir abrité des prisonniers de guerre en 1940, il est connu à partir de 1941 sous le nom de Centre de séjour surveillé de Choisel, dépendant du sous-préfet et mis sous la surveillance des gendarmes français. Il abrite alors des nomades, des détenus de droit commun et des détenus politiques dont la plupart étaient communistes.
Les premières troupes allemandes arrivent à Châteaubriant le 17 juin 1940.
1940
En juin 1940,
lors de la bataille
de France, 45 000 prisonniers de guerre de l’armée
française et quelques anglais sont internés à Châteaubriant
et répartis en quatre camps, identifiés par les lettres A, B, C et
S. Le plus important est le camp C situé à sur le champ
de course de Choisel, au Nord de Chateaubriant sur la route de
Fercé1,2.Aprés juin 1940 la famille Martinelli a connaissance du lieu où est emprisonné César Martinelli
Mme Martinelli réussit à rassembler la petite famille de trois enfants dans la traction avant citroen et se rend malgré la distance au camp de Choisel Les prisonniers enfermés dans un vaste enclos exposé a la pluie et a tous les vents ne bénéficient
d' aucune liberté et les contacts sont particulièrement surveillés par des sentinelles vigilantes et intraitables
Aucune information concernant la vie au camp sinon les documents exposés ci dessus

Laissez-passer pour prisonniers de guerre français et belges travaillant a l 'extérieur du camp
Ensuite grand départ pour l Allemagne
C M a travaillé dans une ferme où les contacts semblaient excellents avec les fermiers IL nous parlait fréquemment d' un camp de déportation a proximité de Fallingbostel où il avait effectué certains travaux en fonction de son expérience
d' entrepreneur du bâtiments
Par la suite aprés la défaite de l' Allemagne en 1945 il employa dans son entreprise deux prisonniers allemands dont l' un d 'eux est devenu chef de chantier l 'autre exerçantla profession de menuisier
L'un des deux s'est d ailleurs marié avec une habitante de Putanges


Fallingbostel
Plusieurs sagiens et ornais sont prisonniers en juin 1940 a Fallingbostel stalag 11 B

Putanges pont Ecrepin
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Ce n'est cependant que le 21 juin qu'apparaissent à Putanges les premiers feldgrau, cyclistes et cavaliers qui passent sans s’arrêter. Le 23 juin, un détachement d'artillerie antichars s'installe à Pont- Écrépin et tient pendant plusieurs jours le pont sous contrôle de ses pièces. Le 12 juillet, de nouvelles troupes de passage font étape à Putanges et à Pont-Écrepin. Les officiers sont logés chez l’habitant :

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Parachutistes allemands place de la mairie Les chevaux sont réquisitionnés dans les fermes (ci dessous) | ds et sedirigent |
pour équiper les voitures de ravitaillement allemandes Les différents convois ne pourront resister aux attaques de l avion alliée ( voir gué de Moissy ) ![]() | ||||||||
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le gué de moissy a Chambois Le couloir de la mort est le nom donné à la fin de la bataille de Normandie à un étroit passage entre Saint-Lambert-sur-Dive et Chambois dans le nord-est de l'Orne. Durant les journées du 19 au 20 août 1944, sur un passage de 3 km de largeur1 ce qui reste des troupes allemandes en Normandie essayent de s'échapper par le seul passage encore ouvert dans la poche de Falaise sous la pression des Canadiens et des Polonais au nord, et des Américains et d'un détachement de la 2e DB française au sud. Seuls le gué de Moissy, traversable l'été et le pont de Saint-Lambert permettent aux véhicules de franchir la Dives. Cette zone est durant ces deux jours sous le feu de l'artillerie et de l'aviation alliée. Lorsque les troupes alliées font leur jonction, ils découvrent un spectacle dantesque avec un enchevêtrement de véhicules détruits, incendiés ou abandonnés et de cadavres de soldats et de chevaux recouvrant la route, parfois sur une épaisseur de trois ou quatre corps1, ce qui lui faudra ce surnom de « couloir de la mort ».
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cathedrale saint Germain Argentan |
Putanges 1945
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En arriere plan l 'immeuble " le Bosquet "
Retour au bercail reprise de l' activité de
l 'entreprise 
Bombardement de Putanges et destruction du pont en Aout 1944( texte de Monsieur Darpentigny )
Les Allemands ont un instant le projet de marquer un temps d'arrêt sur l'Orne et leurs états-majors parcourent les crêtes de la rive droite en quête de positions d'artillerie. Mais deux colonnes Alliées, arrivées simultanément, sont déjà dans Putanges et à 11 heures, malgré l'intervention héroïque d'un officier anglais qui s'est porté sur le pont pour couper les mèches mises à feu, l'ouvrage saute et entraîne dans sa ruine tous les immeubles construits dans son voisinage. Le courageux officier et l'alsacien qui l’accompagne perdent la vie.
Cependant, un détachement de tanks anglais descend la route de Fromentel, il est pris à partie par un tank allemand embossé à l'entrée du chemin de la scierie. Mais ce dernier bientôt repéré est neutralisé en quelques obus. Un second détachement de tanks américains s'approche de Putanges par la route de Condé et le 18 au soir, la ville est au mains des Alliés. Quelques éléments allemands tiennent encore sur la rive droite.
Les patrouilles d'infanterie sont en contact et le silence de la nuit est ponctué par le crépitement des mitrailleuses. Au cours de la nuit des éléments anglais prennent pied sur la rive droite. Des tanks légers franchissent l'Orne à gué, à la hauteur de la ferme des Naudières et se portent en avant sur la D15.
Le 19 août, Pont-Écrépin connaît à son tour la joie de la libération. Les cloches sonnent ; les ruines se pavoisent, les alliés en quelques heures installent un Pont Bailey sur les piles de notre vieux pont écroulé et la file ininterrompue des tanks et des convois reprend sa marche vers l'est... vers la victoire... !
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Reconstruction du pont par l 'entreprise Martinelli

Enfin libérés.... retour en France Pélerinage à Lourdes date hypothèse 8septembre 1946
Cesar Martinelli debout premier a droite
Le camp de la Wehrmacht
Lors du premier conflit mondial, les Allemands construisent à Bergen un camp de prisonniers destiné à accueillir des soldats Français et Belges. En 1940, la Wehrmacht réactive le camp qu’elle destine à l’accueil de prisonniers de guerre blessés. Le camp accueille 600 prisonniers, Français et Belges.Le 31 mai 1941 le camp de Bergen devient le Stalag 311 (XI C) et accueille à partir de juillet 21 000 prisonniers de guerre soviétiques, cantonnés en rase campagne et sans abri. Arrive l’hiver 1941-1942 : la faim, le froid, la maladie tuent 14.000 hommes.

la rue du Beigle à Argentan



1949 Aout Election de la reine du Commerce
Ce site n 'est que provisoire je fais en sorte de rassembler le maximum d informations concernant Fallingbostel Pour gagner du temps je publie les photos et documents en ma possession
VOIR PUTANGES ARTICLE MAIRE

Ce texte a été rédigé par un parachutiste allemand de retour a Putanges aprés la liberation S arretant sur la place de l hotel de ville il s adressa aux habitants pour leur témoigner l amitié du peuple allemand

Aprés la liberation la vie reprend à Putanges
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