Notre périple a Chambois ce 20 Aout 1944
Il n est jamais trop tard ! photos trouvées sur le champ de bataille de Chambois !
Nous avons quitté Sées un beau matin destination la côte normande ...Ainsi J 'ai pu découvrir l organisation des camps américains et les conditions de vie de ces jeunes d 'outre atlantique venus combattre sur nos terres
Appartenant a la Police Militaire Jerry avait en charge le magasin d habillement et comme tout américain était trés intéressé par les armes et leur maniement .
Collectionneur avisé je pense qu il avait dû se créer suffisamment de contacts avant de rapporter quelques piéces rares aux Etats Unis
Place du parquet revue de Gi's
Conté observe la scène ..La statue de bronze a été enlevée en 1943 et envoyée a la ferraille Le buste en pierre blanche subsiste ( photo en haut et en bas a droite )
Le champ de bataille de Chambois
Avec deux amis nous avions fin aout prospecté le champ de bataille de Chambois dans le but de récupérer non pas des armes mais des objets les plus divers ..
j avais trouvé un contact en l 'occurence un ami de mon pére habitant impasse Cazault à Alençon et qui stationnait chaque jour sur notre grande place Chargé par la préfecture de récupérer des véhicules de toutes sortes.... à la fin de la journée
il prenait en remorque quelques camions ou matériel roulant
dont je n ai jamais connu la destination finale
On peut dire que notre surprise fut grande en découvrant
l étendue des dégâts ;;;et je ne vais pas m' aventurer a décrire le spectacle le plus horrible qui soit , corps de combattants abandonnés ,attelages de chevaux anéantis , un spectacle insoutenable pour les jeunes que nous étions... début septembre sous le soleil d 'été
A Moissy, les Allemands bénéficiaient d'un gué qui, à l’image du pont de Saint-Lambert, est devenu graduellement engorgé par les milliers de chariots, voitures, chars, canons d’assaut, camions… Passé ce gué, les Allemands devaient s'engager sur une voie étroite et poussiéreuse montant lentement vers Coudehard, immédiatement en contrebas de la côte 262. Ce chemin, bombardé et mitraillé en permanence, devint rapidement encombré à son tour par les épaves d'équipements allemands, les fossés qui le bordaient charriant chevaux blessés et soldats agonisants, et offrant un spectacle si tragique qu’il fut bientôt appelé "couloir de la mort".
"Commencement de la fin de la guerre" selon Montgomery, "une de ses plus grandes tueries" selon Eisenhower. L'épisode de la poche de Falaise, du 16 au 22 août 1944, au cours duquel les Allemands ont dû pour la première fois battre en retraite, est un tournant de la Trouvé sur le champ de bataille
libération de l'Europe, au prix d'un "carnage" concentré sur quelques km2 de bocage normand.
"Il était possible pendant des centaines de mètres de ne marcher que sur des restes humains en décomposition, dans un silence pesant, dans une campagne luxuriante où toute vie avait brutalement cessé... C'est l’une des plus grandes tueries de la guerre", rapporta le général Eisenhower.
Plus de deux mois après le Débarquement, entre 5.000 et 6.000 hommes y ont été tués, dont près de 200 civils, présents par centaines après avoir fui les bombardements de la plaine de Caen, note Jean Quellien professeur émérite de l'université de Caen évoquant ce "carnage" dans "La Bataille de Normandie".
S'y ajoutent "les cadavres de 6.000 à 10.000 chevaux", assure Stéphane Jonot, responsable du Mémorial de Montormel à Coudehard (Orne) où la poche s'est refermée. Certaines divisions d'infanterie allemandes étaient en effet essentiellement hippomobiles.
"Quand le vent portait, l'odeur des cadavres était perçue à plusieurs dizaines de km à la ronde", précise M. Jonot.
"Pendant près d'un an, des camions citernes vont alimenter en eau potable certains villages de la vallée car la nappe phréatique est polluée", poursuit le responsable du musée de Coudehard.
Les Allemands ont laissé sur le secteur 220 chars, 160 canons, 700 pièces d'artillerie, 130 canons antichars, 5.000 véhicules à moteur, 2.000 attelages hippomobiles, selon M. Quellien.
"Des concessions de ferraillage se mirent en place. La dernière a fermé 20 ans après les derniers combats. Près de 200 tonnes de ferrailles en ont été tirées", explique M. Jonot.
La bataille a parfois été comparée à celle de Stalingrad, même si en Normandie la victoire des Alliés n'est pas totale puisque 40.000 à 50.000 Allemands ont réussi à fuir. Reste que 30.000 à 40.000 hommes ont été faits prisonniers et "pour les Allemands, l'heure est au repli généralisé
Il n est jamais trop tard ! photos trouvées sur le champ de bataille de Chambois !
Nous avons quitté Sées un beau matin destination la côte normande ...Ainsi J 'ai pu découvrir l organisation des camps américains et les conditions de vie de ces jeunes d 'outre atlantique venus combattre sur nos terres
Appartenant a la Police Militaire Jerry avait en charge le magasin d habillement et comme tout américain était trés intéressé par les armes et leur maniement .
Collectionneur avisé je pense qu il avait dû se créer suffisamment de contacts avant de rapporter quelques piéces rares aux Etats Unis
Conté observe la scène ..La statue de bronze a été enlevée en 1943 et envoyée a la ferraille Le buste en pierre blanche subsiste ( photo en haut et en bas a droite )
Le champ de bataille de Chambois
Avec deux amis nous avions fin aout prospecté le champ de bataille de Chambois dans le but de récupérer non pas des armes mais des objets les plus divers ..
j avais trouvé un contact en l 'occurence un ami de mon pére habitant impasse Cazault à Alençon et qui stationnait chaque jour sur notre grande place Chargé par la préfecture de récupérer des véhicules de toutes sortes.... à la fin de la journée
il prenait en remorque quelques camions ou matériel roulant
dont je n ai jamais connu la destination finale
On peut dire que notre surprise fut grande en découvrant
l étendue des dégâts ;;;et je ne vais pas m' aventurer a décrire le spectacle le plus horrible qui soit , corps de combattants abandonnés ,attelages de chevaux anéantis , un spectacle insoutenable pour les jeunes que nous étions... début septembre sous le soleil d 'été
Documents trouvés sur le champ de bataille |
Jean Quellien professeur émérite de l'université de Caen
libération de l'Europe, au prix d'un "carnage" concentré sur quelques km2 de bocage normand.
"Il était possible pendant des centaines de mètres de ne marcher que sur des restes humains en décomposition, dans un silence pesant, dans une campagne luxuriante où toute vie avait brutalement cessé... C'est l’une des plus grandes tueries de la guerre", rapporta le général Eisenhower.
Plus de deux mois après le Débarquement, entre 5.000 et 6.000 hommes y ont été tués, dont près de 200 civils, présents par centaines après avoir fui les bombardements de la plaine de Caen, note Jean Quellien professeur émérite de l'université de Caen évoquant ce "carnage" dans "La Bataille de Normandie".
S'y ajoutent "les cadavres de 6.000 à 10.000 chevaux", assure Stéphane Jonot, responsable du Mémorial de Montormel à Coudehard (Orne) où la poche s'est refermée. Certaines divisions d'infanterie allemandes étaient en effet essentiellement hippomobiles.
"Quand le vent portait, l'odeur des cadavres était perçue à plusieurs dizaines de km à la ronde", précise M. Jonot.
"Pendant près d'un an, des camions citernes vont alimenter en eau potable certains villages de la vallée car la nappe phréatique est polluée", poursuit le responsable du musée de Coudehard.
Les Allemands ont laissé sur le secteur 220 chars, 160 canons, 700 pièces d'artillerie, 130 canons antichars, 5.000 véhicules à moteur, 2.000 attelages hippomobiles, selon M. Quellien.
"Des concessions de ferraillage se mirent en place. La dernière a fermé 20 ans après les derniers combats. Près de 200 tonnes de ferrailles en ont été tirées", explique M. Jonot.
La bataille a parfois été comparée à celle de Stalingrad, même si en Normandie la victoire des Alliés n'est pas totale puisque 40.000 à 50.000 Allemands ont réussi à fuir. Reste que 30.000 à 40.000 hommes ont été faits prisonniers et "pour les Allemands, l'heure est au repli généralisé
Ces photos n ont jamais retrouvé leur propriétaire( au dos du téléphoniste datée ....Lyon Frankreich 15 5 1943) |
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SEES année 40 ...OCCUPATION
J
Journal et notes personnelles de Roger Cornevin 1940 1944
Dans le tourbillon des événements s’étalant de 1940 à 1945 ,J’avais noté au jour le jour ...sur des cahiers d’écolier , et agendas… tant que les mots ... les images…. me restaient en mémoire ,les faits ,les anecdotes , mes impressions ,mes réactions
Mais aussi pour imager ces evenements ,j’avais utilisé un vieux kodak encombrant des années 20 qui ne put faire de miracles ,mais dans un contexte difficile me permit de realiser quelques photos exclusives telles que l’épave de la forteresse abattue en juillet 1943 à Belfonds, et la liberation de notre petite ville sous le joug allemand depuis juin 1940
J’ai donc extrait les photos de cette longue aventure qui ont dormi pendant six décennies au fond d’une vieille malle abandonnée dans le grenier , avant de se glisser dans les derniers chapitres de ce journal
Clichés qui racontent mieux qu’un témoignage les événements passés
Et après quelques dizaines d’années je me suis demandé …mais po…
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FALLINGBOSTEL CAMP DE PRISONNIERS STALAG 11 B RETOUR A PUTANGES
Les saules pleureurs sur les bords de l orne Vue du pont de Putanges
Cesar Martinelli debout au milieu ( une cigarette dans la main gauche )
Cesar Martinelli et son aumonier
Cesar Martinelli 1er a gauche au second rang
( Rédaction provisoire )
Le camp de Choisel est un camp d'internement situé en France, dans la commune de Châteaubriant, en Loire-Atlantique (à l’époque « Loire-Inférieure »).
Après avoir abrité des prisonniers de guerre en 1940, il est connu à partir de 1941 sous le nom de Centre de séjour surveillé de Choisel, dépendant du sous-préfet et mis sous la surveillance des gendarmes français. Il abrite alors des nomades, des détenus de droit commun et des détenus politiques dont la plupart étaient communistes.
Les premières troupes allemandes arrivent à Châteaubriant le 17 juin1940.
1940 En juin 1940, lors de la bataille de France, 45 000 prisonniers de guerre de l’armée française et quelques anglais sont internés à Châteaubriant et répartis en quatre camps, identifiés par …
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Cesar Martinelli et son aumonier
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Le camp de Choisel est un camp d'internement situé en France, dans la commune de Châteaubriant, en Loire-Atlantique (à l’époque « Loire-Inférieure »).
Après avoir abrité des prisonniers de guerre en 1940, il est connu à partir de 1941 sous le nom de Centre de séjour surveillé de Choisel, dépendant du sous-préfet et mis sous la surveillance des gendarmes français. Il abrite alors des nomades, des détenus de droit commun et des détenus politiques dont la plupart étaient communistes.
Les premières troupes allemandes arrivent à Châteaubriant le 17 juin1940.
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MONGOLS ARMEE ALLEMANDE....
Ceux que l on appelait les mongols ....
ils étaient surnommés.. les mongols ;;;ils parcouraient les rues de Sées depuis le début de l'année 1944 et je me posais multiples questions concernant leur origine ,leur réelle nationalité ....
D'où venaient ils ?Pourquoi étaient ils intégrés dans la wehrmacht ? Je sais par expérience qu'ils étaient particulierement surveillés par les feldgendarmes de la Werhrmacht donc pas totalement libres de leurs mouvements
Issus d une autre culture ils pouvaient être dangereux lorsque l'alcool était venu à leur rencontre ,Dans ce cas notre attitude de jeunes consistait à les éviter
A la libération jai appris qu 'il s'agissait de troupes issues de l arméeVlassof
L'Armée de libération Russe ( également connue sous le nom d'armée Vlassov était une formation militaire de volontaires russes armés par la wehrmacht durant la 2 eme guerre mondiale Cette armée fut organisée par l’ancien général de l’armée rouge Andrei Vlassov qui…
ils étaient surnommés.. les mongols ;;;ils parcouraient les rues de Sées depuis le début de l'année 1944 et je me posais multiples questions concernant leur origine ,leur réelle nationalité ....
D'où venaient ils ?Pourquoi étaient ils intégrés dans la wehrmacht ? Je sais par expérience qu'ils étaient particulierement surveillés par les feldgendarmes de la Werhrmacht donc pas totalement libres de leurs mouvements
Issus d une autre culture ils pouvaient être dangereux lorsque l'alcool était venu à leur rencontre ,Dans ce cas notre attitude de jeunes consistait à les éviter
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