SOE, L’ARMÉE
SECRÈTE DE CHURCHILL
Special Operations Executive | |
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Création | |
---|---|
Disparition | |
Siège | Baker Street, Londres |
Employés | environ 13 000 |
Activité(s) | Renseignement, action clandestine |
Direction | Frank Nelson (en), Charles Jocelyn Hambro (en), Colin Gubbins |
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Le Special Operations Executive (SOE, « Direction des opérations spéciales ») est un service secret britannique qui opère pendant la Seconde Guerre mondiale. Le SOE est créé le 19- par Winston Churchill et dissous le . Le SOE a pour mission de soutenir les divers mouvements de résistance des pays d'Europe occupés par l'Allemagne ainsi que, progressivement, de tous les pays en guerre, y compris en Extrême-Orient («Force 136») :
Nos résistants et le SOE
La section F avait une école d’entraînement préliminaire à Wanborough Manor près de Guildford, et la section RF, à Inchmery près de Southampton. En général (car rien dans SOE ne restait absolument statique) le programme avait trois aspects.
Tout reste à concevoir c est dans cet esprit qu 'à Londres le colonel Passy organise le bureau central de renseignement et d 'action sous les ordres du general de gaulle
( BCRA )
Recueillir des renseignements sur tout ce qui se passe en France , soutenir les résistants de l 'intérieur dans leur combat puis imposer à ceux ci une tutelle souvent fort mal acceptée( reference faite à " les services secrets du général de Gaulle ")

les messages secrets de la Résistance Sagienne
La lune a été pour le SOE une déesse encore plus puissante que dans les religions antiques du Moyen Orient
Toutes l' activité du SOE s'est réglée sur ses phases Les avions clandestins ne pouvaient pas atterrir sans elle Il
restait désirable pour une opération de parachutage que la lune soit au moins à demi pleine et haute dans le ciel d 'où l organisation des missions secrètes en territoire occupé
Le but du programme préliminaire était de juger l’aptitude des candidats pour leur rôle, sans en dévoiler la nature exacte. Ceci évitait que la sécurité soit compromise en cas de rejet du candidat. Non seulement tous les candidats étaient des volontaires, mais ils pouvaient se retirer à tout moment pendant leur entraînement sans courir le risque d’une remarque dérogatoire sur leur fiche de service.
L’enseignement des règles de sécurité d’une vie clandestine était de première importance.
Il y avait d’autres écoles spécialisées par exemple pour le parachutage, le sabotage industriel et l’atterrissage clandestin d’avions. La formation des opérateurs de radio prenait environ trois mois. En général le candidat faisait six à huit mois d’entraînement.


Les
agents étaient groupés en réseaux, en anglais circuits,
qui furent distribués à travers la France entière, tant en zone
occupée qu’en zone dite non occupée. Ils variaient énormément
en dimension et structure. La composition typique pour un réseau de
la section F consistait en un chef (organiser), un opérateur
de radio pour assurer les communications avec Londres, et un courrier
pour distribuer les messages à l’intérieur du réseau. Quand le
réseau prenait de l’ampleur, il pouvait recevoir un responsable
pour l’organisation des parachutages, et la réception des stocks
et des agents. Après la formation des Maquis, des instructeurs
d’armes et autres furent envoyés.
SOE, en particulier la section F, recruta des femmes comme agents, les jugeant sur leur propre mérite. Elles se sont distinguées comme opérateurs de radio et comme courriers. Elles avaient un avantage vis à vis des hommes car, dans les rues françaises, elles attiraient moins l’attention qu’un homme d’âge militaire. Elles pouvaient fournir plus facilement des explications lors d’un contrôle. Une femme, Pearl Witherington (maintenant Mme Cornioley) a assumé le rôle de chef dans le Loir-et-Cher quand les combats ont débuté.
La section RF expédia environ 500 agents, les livraisons de matériel pour cette section étaient assurées par le Bureau d’opérations aériennes BOA dans la zone Nord et par le Service d’atterrissages et parachutages dans le sud. La section AMF expédia environ 650 agents (la plupart en uniforme) dont un tiers américains, presque tous en liaison avec l’opération Dragoon, le débarquement franco-américain sur la Côte d’Azur en août 1944.
Avec
l’approche du débarquement en Normandie, le commandant des
opérations du SOE fut transféré au SFHQ sous la direction de SHAEF
du général Eisenhower. Le général Koenig, qui avait déjà été
nommé chef des FFI prit le commandement des sections F et RF le 1er
juillet 1944.
Ravitaillement
Plus de 10 000 tonnes de matériel de guerre, la plupart armes légères, munitions et explosifs furent expédiées par SOE aux comités de réception en France au cours des années 1941-1944.
Parfois,
surtout pendant la phase clandestine, il était nécessaire d’envoyer
les marques qui ne s’identifiaient pas comme provenant de Londres.
Pour le combat ouvert, l’important était de choisir, parmi les
armes d’usage courant, celles qui permettaient l’emploi des
munitions prises aux allemands. Pour la plupart, ce matériel fut
parachuté et dans quelques cas, expédié par opérations maritimes.
Le point culminant fut atteint au moment du débarquement en
Normandie.
Le
transport aérien fut assuré pour SOE, comme pour tous les services
spéciaux britanniques, par la RAF. Au début, avant 1941, il n’y
avait pas plus de 5 avions disponibles. En novembre 1942 il y en
avait 27 et au printemps de 1944, 36. Plus tard, le nombre augmenta
considérablement grâce à la participation de l’USAAF, qui permit
vols en masse et en plein jour. Halifax
Au début, il n’y eut que l’escadrille n° 138, mais après, le RAF fournit une deuxième, n° 161. Ensuite le n° 138 assura exclusivement des parachutages, alors que le n° 161 s’occupa des atterrissages et, lorsque cela était possible, quelques parachutages.
Le n° 161 avait sa base à Tempsford, avec plus tard, un terrain auxiliaire à Tangmere. L’avion par excellence pour les atterrissages était le Westland Lysander, spécialement adapté pour déposer et ramener des agents. En 1943-1944 on utilisait aussi le Lockheed Hudson, qui avait une capacité plus grande, comme, plus tard, le Douglas Dakota.
258
agents furent déposés en France et 433 ramenés en Angleterre, plus
de
1 200 parachutages furent accomplis.
La survivance des réseaux dépendait du courage et du dévouement de ces équipages ainsi que de l’habileté et de la ténacité des équipages des avions de transport, à savoir les Whitley, les Halifax et les Stirling, utilisés pour le parachutage des agents et du ravitaillement. Plus de 1 200 agents et plus de 10 000 tonnes de matériel furent parachutés. Inévitablement il y eut des pertes d’avion et de personnel.
1 200 parachutages furent accomplis.
La survivance des réseaux dépendait du courage et du dévouement de ces équipages ainsi que de l’habileté et de la ténacité des équipages des avions de transport, à savoir les Whitley, les Halifax et les Stirling, utilisés pour le parachutage des agents et du ravitaillement. Plus de 1 200 agents et plus de 10 000 tonnes de matériel furent parachutés. Inévitablement il y eut des pertes d’avion et de personnel.
stirling withley
Un whitley lanceur de tracts fut abattu à Sées ( la potence )dans la nuit du 22au 23 Mai 1944, 2 semaines avant le débarquement
Pendant les premiers mois de son existence, SOE n’avait pas d’autre option que d’utiliser la voie de mer pour le transfert clandestin des agents et l’envoi du matériel. Même plus tard, lorsque les transports aériens purent offrir une meilleure solution pour le nord de la France, la, demande pour les opérations maritimes continua dans le sud du pays et dans d’autres cas spéciaux. Barques de pêches bretonnes, vedettes lance-torpilles, felouques méditerranéennes, sous-marins, vaisseaux marchands armés furent tous mis en service.
SOE
essaya, parfois avec succès, d’organiser de façon indépendante
ses propres opérations mais dut, la plupart du temps, opérer dans
les limites du système imposé par l’Amirauté qui avait tendance
à favoriser les demandes de l’Intelligence Service.
Néanmoins une importante contribution fut faite, ou par SOE, ou au
nom de SOE. À part des débarquements individuels et des opérations
de "ramassages" pour les sections F et RF, la ligne
d’évasion VAR, de la section DF, qui, entre l’hiver 1943 et
l’été 1944 fit échapper quelques 70 personnes, se termina par
une traversée à partir de la côte nord de la Bretagne. Il n’y
eut aucune perte de passagers. Deux felouques, avec un équipage
polonais de la section EU/P transporta un total de 600 agents, soit
de Gibraltar dans le sud de la France, soit plus tard, d’Afrique du
Nord en Corse. Après son installation en Corse, SOE assura des
opérations maritimes en France et en Italie.
Radio
Les liaisons radiotélégraphiques étaient l’élément vital des activités de presque tous les réseaux. L’étendue de leur vulnérabilité était considérable. Si les opérateurs radio émettaient sans changer d’emplacement, ils couraient le grand danger d’être repérés par l’ennemi, dont les équipes de repérage était extrêmement efficaces. Si, pour éviter ce danger, les opérateurs changeaient fréquemment leur lieu d’émission, ils risquaient d’être arrêtés pendant leurs déplacements ou, tout au moins, de révéler leurs activités à un trop grand nombre de personnes.
Quant à la durée de leur émission, elle devait être aussi courte que possible et pourtant les messages d’importance capitale devaient être transmis à tout prix. C’est pourquoi l’espérance de vie d’un radio était cruellement courte, estimée généralement à six semaines. Néanmoins, en juin 1944, SOE avait déjà établies plus de 150 liaisons WT entre la France et Londres.
2 agents secrets parachutés à Sées ( moulin d Escures en Avril 1944 et cachés chez Edouard Cercueil)
Une voiture gonio était postée place du Parquet face à notre domicile ) et les 2operateurs s enfuirent cachés sous des bottes de paille Les allemands coupérent le courant par quartier et purent localiser l'emetteur emettant vers Londres L emission avait été captée par un avion allemand survolant la Ville
La Signals Section de SOE pouvait faciliter la tâche des opérateurs en leur procurant des codes qui n’étaient jamais "cassés", et un service de décryptage dont les membres étaient passionnément dévoués et déterminés à lire les messages souvent altérés, sans avoir à les faire répéter.
Messages
personnels
L’appel à la Résistance de prendre les armes au moment du débarquement en Normandie fut transmis de cette façon. Cela permettait aussi à un agent de prouver sa "bonne foi" en arrangeant la transmission à la BBC d’un message choisi par la personne qui avait besoin de preuves.
Autres
appareils utilisés par SOE : l' "Euréka", une balise de
radioguidage pour indiquer l’emplacement précis du terrain de
réception à l’avion qui approchait et le S-phone, qui permettait
à l’agent au sol de communiquer avec l’avion.
Les Réseaux SOE jouèrent un rôle considérable en semant la confusion parmi les Allemands dans les arrières de l’ennemi au moment du débarquement en Normandie et en disloquant les transports de matériel et des renforts vers le front. La destruction des lignes téléphoniques obligea l’ennemi à transmettre ses messages par la radio où les alliés pouvaient les intercepter et les déchiffrer.
Le
délai de 16 jours infligé à la 2e Panzer Division Das
Reich en route de Montauban à Caen, et celui de 21 jours
infligé à la 11e Panzer Division en route de l’Alsace vers la
Normandie, sont seulement les exemples les plus marquants. Aussi,
lors du débarquement dans le Midi de la France, la route pour les
armées alliées fut maintenue ouverte.
C’est à cette époque que les groupes Jedburgh - groupes formés et armés par SOE et consistant en théorie, mais pas toujours en pratique, d’un britannique, d’un américain et d’un français, tous en uniforme - furent envoyés en France avec la tâche de coordonner le soulèvement armé des groupes de résistance avec les plans envisagés par les alliés.
L’aide de la Résistance aux forces alliés, équipée et soutenue par SOE, était si considérable que le Général Eisenhower a reconnu sa valeur comme l’équivalent de 5 à 6 divisions. Il a été aussi dit que cette aide avait raccourci la guerre de six mois.
Il faut répéter que rien de ceci n’aurait été possible sans l’immense dévouement, courage et sacrifice de la Résistance française. Mais ses efforts n’auraient pas non plus abouti et pris une importance militaire sans l’aide fournie par SOE, par ses volontaires et ceux qui ont souffert et donné leur vie pour la cause. Ils furent ambassadeurs en France et les survivants continuent de l’être.
Documents
fournis par le docteur Pierre Morel,
liquidateur des réseaux Buckmaster
liquidateur des réseaux Buckmaster

LUNE DE FEVRIER 1943 :
HESLOUP: Parachutage à proximité du bois d' Hesloup d' un important agent de la France Libre Duthilleul , pseudo "Oscar". Il est accueilli par Marcel Mezen du réseau Minipule par M Aubert des Eaux et Forêts et par M BADRE du secours national , tous d'Alençon. Il sera convoyé vers la gare par Jacques Aubert, chef de fabrication à la SILEC, lequel sera déporté et mourra dans les camps ( Témoignage Abbé Jean Aubert, Alençon)
NUIT DU 21 MAI 1943:
GEMAGES, L'HERMITIERE: premier parachutage d'armes et de matériel sur le terrain de la Pierre Procureuse pour le réseau Satirist Physician
Marius Garnier , Arthur de Montalembert, Bernard Delavigne. Les armes et munitions inventoriés dans les taillis du second parc
Château
de l' Hermitière (Mme de Courson , morte en déportation) seront prises
en charge (après les interventions de la police allemande) par le réseau
DUTHILLEUL, mission champignon de la Sarthe.
Le premier parachutage dans l’Orne eut lieu sur le
terrain du Vieux Montmerrei, le chef de terrain étant Chevreuil de
Mortrée. Je l’ai rejoins à 22 heures avec son équipe composée d’une
dizaine d’hommes dont le brigadier de Gendarmerie de Mortrée. Vers
minuit, l’avion est apparu et nous a lâché des colis : 12 containers ,
11 d’armes dont deux FM, des mitraillettes Sten , des pistolets et les
munitions plus le spécial contenant tabac, cigarettes, thé.
Malheureusement, ma mémoire est totalement
défaillante quant à la date exacte des parachutages et des messages
reçus. J’ai eu l’occasion d’en faire une relation plus complète qui
m’avait été demandée par Ouest France à l’occasion de l’inauguration du
monument de la résistance le 29 septembre à Argentan » ….
MORTREE, Parachutage BOA comme le précédent qui échoua. 10 containers dont 4 destinés au matériel médical.( Chevreuil, chef de terrain Mouton et groupe du sanglier de Tanville s'occupent de la réception.
NUIT DU 21 AU 22 JUIN 1943.
VOYER, DARCHY, GROS et 7 hommes à la réception et à la protection, plus groupe Chevreuil.
Près ECHAUFFOUR la haute Bouillée, terrain . Mme de la Jachère, atterrissage d'un Lysander. Opération non identifiée.
NUIT DU 21 AU 22 SEPTEMBRE 1943;
MORTREE,
échec du parachutage BOA sur terrain "lapin". Présents sur le terrain
CLOUET DES PERRUCHES, BOA régional BRIGITTE FRIANG sa secrétaire ANDRE
GROS alias Minet de l'AIGLE, ALBERT TERRIER d'Alençon alias Mr Jules
Briand , dit "Petit Maurice" FFC. René Croisé alias Janvier , de
Mortagne.
NUIT DU 31 DECEMBRE AU 1er JANVIER. (ou du 30 au 31 décembre).
ASSE LE BOISNE (SARTHE) parachutage réussi sur terrain OURAGAN. Les équipes ornaises accueillent 3 agents BECHE, SEMOIR, CHANCE. 15 containers ,
6 paquets et 2 500 000 F pour Galilée ( Clouet des Perruches) et le DMR.
NUIT DU 2 AU 4 FEVRIER 1944:
TANVILLE; Parachutage sur terrain ECLAIR . Reçu 6 containers et 1 paquet. A la réception groupe du Sanglier de Tanville. Tessier père et ses 2 fils , Septier, Olivier, Leborgne.
NUIT DU 1er AU 2 MARS 1944.
LE MERLERAULT : Parachutage BOA sur terrain " Message " le chien a son numéro".Tessier père et ses 2 fils
NUIT DU 9 AU 10 AVRIL 1944.
ST LEONARD DES PARCS: Succès parachutage sur terrain Aurore. Deux agents reçus TRACTEUR et SARCLOIR. 15 containers et des paquets.
ST LEONARD DES PARCS
Maison Cercueil rue Saint Martin
....)

s des rouges terres et définie par les coordonnées
d 'usage largue 15 containers et des paquets
Le parachutage se déroule dans les meilleures conditions dans la nuit du 9au 10 avril 1944( soit moins de deux mois avant le débarquement )

On note la présence sur les lieux du parachutage de Edouard Cercueil ;;et de son équipe ;;;;;chargés de la récupération du matériel , hommes courageux entre tous ,conscients de l importance capitale de leur tâche a laquelle ils sont habitués

ces terrains selectionnés portaient les noms de
ces hommes dont la volonté et l'équilibre sont mis à l'épreuve 24 heures sur 24 mais aussi grâce à l héroisme d hommes et de femmes qui sur le sol national ont organisé dans des conditions difficiles et périlleuses atterrissages , décollages et parachutages clandestins indispensables aux déplacement des hommes responsables et ainsi qu' au soutien logistique et financier des combattants de l ombre
Ces operations ne pouvaient se réaliser qu 'à la faveur du clair de lune
Mais parlons de l'équipage du bombardier mission SOE
Les équipages du SOE
Rappelons que le ciel de nuit est une occasion d’affronter pour
les lourds bombardiers ….. les rapides chasseurs de la Luftwaffe
Témoignage d' un pilote du SOE
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Bombardier lançeur de containers |
La navigation relative a la recherche d un terrain balisé par une nuit de pleine lune ,feux éteints présentait des difficultés toutes particulières pour 'l 'équipage en mission spéciale, qui pour mener sa tache à bien ,devait être capable de repérer avec la plus grande précision dans la nuit noire une cible minuscule mal définie après avoir volé pendant des heures au dessus du territoire ennemi"
Nos résistants ou comités de réception avaient ordre de choisir des sites aisément repérables du ciel mais pour de multiples raisons cela n'était pas toujours chose possible et l' avion ayant enfin trouvé sa zone de largage devait parfois chercher encore ........longuement les balises au sol destinées à le guider et qui pouvaient etre cachées par un bois ou les versants d une vallée
Le navigateur du bombardier devait souvent recourir à la lecture des cartes et a la navigation a l'estime ce qui exigeait du pilote qu'il vole a basse altitude au dessus de la campagne
![]() |
terrain balisé par la résistance |

Les résistants devaient éclairer et surveiller la zone identifiée par un nom de code
Exemples
Aurore ( Rouges terres ) Lapin( Mortrée ) Orage ( Macé ) Eclair ( Tanville) Grêle ( Echauffour ) Ilot ( Le sap) Levite ( Ranes ) etc...
La cause plus probable d'incident était en fait
Le dixième des échecs nocturnes était dû d' après les pilotes a des erreurs de navigation
Ils ne trouvaient pas leur zone de largage ,,situation due quelquefois a des problèmes techniques ,quelquefois marquée par l 'absence du comité de réception pour des raisons indépendantes de sa volonté
Des accidents exceptionnels pouvaient survenir ,ainsi sur le terrain .x. dans notre département c est un Dornier de la Luftwaffe qui survint à la place de l 'avion allié attendu et qui mitrailla les hommes rassemblés au sol causant quelques dégâts parmi les troupeaux d'animaux Une vache fut tuée et comme par hasard
C 'était d ' après le fermier la plus belle du troupeau ...
Même si l'avion et le comité de réception arrivaient tous deux au bon endroit au bon moment le parachutage pouvait lui même poser problème , seuls les pilotes les plus expérimentés savaient évaluer avec précision leur altitude Si l'avion volait trop bas les colis risquaient de se détériorer et les hommes de se blesser , Trop haut et un coup de vent suffisait a disperser les containers dans la nature et hors de portée
De Tempsford aérodrome secret (sud ouest de Cambridge ) deux heures de vol suffisaient a un bombardier spécialement modifié et adapté aux parachutages de nuit pour lancer ses containeurs sur la DZ ( dropping zone ) préparée par les résistants
Fin fevrier 1943 Premier parachutage ans l' orne BOA
Etaient présents Bob, figaro ,( noms de code,? )Granger Denormandie ( Macé ), Lefévre de chailloué , Cosnard de Belfonds
l 'adjudant Thual et le gendarme Collet ces deux gendarmes appartenant a la brigade de Sées
Là
où ce serait possible, les résistants devraient jeter la
perturbation chez l’ennemi par des actes de sabotages et,
éventuellement, prendre les armes de concert avec les Forces armées
alliées pour libérer l’Europe.
C’est dans ce but que fut fondé SOE, une des plus grandes créations de la deuxième guerre mondiale. Officiellement SOE fut créé le 22 juin FLAK ALLEMANDE avec, comme directive de "coordonner toute action de subversion et de sabotage contre l’ennemi". Churchill résuma cette tâche plus vigoureusement lorsqu’il donna au Dr Hugh Dalton, ministre responsable pour SOE, la consigne de "mettre le feu à l’Europe". Ce fut un acte de foi dans la force de l’esprit de résistance.
C’était
dans cet esprit que le général de Gaulle, le 18 juin 1940, fit sa
déclaration historique à la BBC de Londres.
La
tâche de SOE devint progressivement plus complexe et plus
importante. Les ressources matérielles étaient limitées. Pourtant
il fallait que SOE assume ses responsabilités sur tous les fronts de
guerre à travers le monde entier. Mais, à l’exception de la
Pologne, les autres pays occupés n’avaient pas de tradition de
résistance armée clandestine.
SOE devait donc entreprendre l’entraînement des agents hommes et femmes dans la guerre de guérilla, dans l’emploi des explosifs, dans le sabotage, dans le codage, dans l’utilisation des postes émetteurs secrets et dans les impératifs de sécurité. On avait aussi besoin des moyens de transport.
SOE devait donc entreprendre l’entraînement des agents hommes et femmes dans la guerre de guérilla, dans l’emploi des explosifs, dans le sabotage, dans le codage, dans l’utilisation des postes émetteurs secrets et dans les impératifs de sécurité. On avait aussi besoin des moyens de transport.
Recrutement
SOE
avait besoin de gens qui savaient comment vivre en France et capables
de se faire passer pour des citoyens français. Un certain nombre de
ce genre d’individus se trouvait déjà en Grande Bretagne, la
plupart de nationalité britannique avec des liens de famille en
France.
Certains de ceux-ci avaient déjà offert leurs services, chacun désireux de faire quelque chose pour la France. Très vite, d’autres arrivèrent en Grande Bretagne, venant des pays d’outre-mer, et il y eut un afflux continu de volontaires, s’évadant de la France. Comme aucun de ceux-ci ne connaissait alors l’existence de l’organisation secrète, ce fut SOE qui dut les contacter.
Certains de ceux-ci avaient déjà offert leurs services, chacun désireux de faire quelque chose pour la France. Très vite, d’autres arrivèrent en Grande Bretagne, venant des pays d’outre-mer, et il y eut un afflux continu de volontaires, s’évadant de la France. Comme aucun de ceux-ci ne connaissait alors l’existence de l’organisation secrète, ce fut SOE qui dut les contacter.
Tout étranger venant de l’Europe occupée qui débarquait en Grande Bretagne pendant la guerre et qui n’avait pas une identité déjà garantie, était obligé de faire un stage à The Royal Victoria Patriotic School à Wandsworth dans le sud de Londres. Normalement, quelques jours seulement étaient nécessaires pour obtenir le récit exact de celui ou de celle qui s’était évadé. Même si cet interrogatoire n’était pas toujours bien vu par ceux désireux d’offrir leur service pour la cause, c’était un filtre de sécurité indispensable et ceci fut remarquablement efficace pour déceler des agents allemands qui, sous prétexte d’être des réfugiés, utilisaient cette méthode d’infiltration. Une fois que les individus avaient passé ce test, ceux qui paraissaient avoir les aptitudes requises, étaient pris en main par SOE.
À
l’intérieur de SOE, il y avait plusieurs sections concernant la
France :
- Section F : ce fut une conception entièrement britannique, créée pour appuyer la Résistance sans tenir compte d’affiliations politiques éventuelles.
Le seul objectif était la victoire. Après la guerre, les réseaux E furent connus en France, sinon en Grande Bretagne, comme les réseaux "Buckmaster", d’après le nom du chef de la section F. - Section RF : elle fut créée plus tard pour donner appui aux FFL, sous le général de Gaulle, qui nécessairement voyait bien plus loin que la victoire. Les agents de la Section RF furent largement formés par SOE, qui fournit également matériel et moyens de communication.
- Section DF : elle avait la tâche d’organiser les routes d’évasions vers la Grande Bretagne pour les agents de SOE.
- Section EU/P : elle s’occupait des importantes communautés polonaises existant en France.
- Section AMF : elle fut créée à Alger après novembre 1942, opérant vers le Midi de la France.
- Jedburgh : groupes formés et armés par SOE et consistant, en théorie, mais pas toujours en pratique, d’un britannique, d’un américain et d’un français, tous en uniforme. Ils furent envoyés en France avec la tâche de coordonner le soulèvement armé des groupes de résistance avec les plans envisagés par les alliés.
La section F avait une école d’entraînement préliminaire à Wanborough Manor près de Guildford, et la section RF, à Inchmery près de Southampton. En général (car rien dans SOE ne restait absolument statique) le programme avait trois aspects. Le but du programme préliminaire était de juger l’aptitude des candidats pour leur rôle, sans en dévoiler la nature exacte. Ceci évitait que la sécurité soit compromise en cas de rejet du candidat. Non seulement tous les candidats étaient des volontaires, mais ils pouvaient se retirer à tout moment pendant leur entraînement sans courir le risque d’une remarque dérogatoire sur leur fiche de service. Ceux qui passaient ce premier stage continuaient leur entraînement avec un cours paramilitaire, physiquement dur, dans les montagnes d'Écosse. C’était au troisième stage (dans la forêt de Beaulieu, dans le Hampshire) que l’entraînement était axé sur la vie d’un agent secret et les besoins nécessaires pour survivre dans le pays précis où il allait être expédié. L’enseignement des règles de sécurité d’une vie clandestine était de première importance. Il y avait d’autres écoles spécialisées par exemple pour le parachutage, le sabotage industriel et l’atterrissage clandestin d’avions. La formation des opérateurs de radio prenait environ trois mois. En général le candidat faisait six à huit mois d’entraînement.
La
campagne
La
section F expédia environ 470 agents en France. Ils furent, soit
parachutés, soit posés au sol par Lysander ou Hudson, soit déposés
sur la côte par bateau ou sous-marin. Si l’agent faisait le voyage
de retour vers la Grande Bretagne, il devait soit être ramassé par
avion ou par bateau, soit faire éventuellement le long et dur trajet
à travers les Pyrénées.
Les agents étaient groupés en réseaux, en anglais circuits, qui furent distribués à travers la France entière, tant en zone occupée qu’en zone dite non occupée. Ils variaient énormément en dimension et structure. La composition typique pour un réseau de la section F consistait en un chef (organiser), un opérateur de radio pour assurer les communications avec Londres, et un courrier pour distribuer les messages à l’intérieur du réseau. Quand le réseau prenait de l’ampleur, il pouvait recevoir un responsable pour l’organisation des parachutages, et la réception des stocks et des agents. Après la formation des Maquis, des instructeurs d’armes et autres furent envoyés.
SOE,
en particulier la section F, recruta des femmes comme agents, les
jugeant sur leur propre mérite. Elles se sont distinguées comme
opérateurs de radio et comme courriers. Elles avaient un avantage
vis à vis des hommes car, dans les rues françaises, elles
attiraient moins l’attention qu’un homme d’âge militaire.
Elles pouvaient fournir plus facilement des explications lors d’un
contrôle. Une femme, Pearl Witherington (maintenant Mme Cornioley) a
assumé le rôle de chef dans le Loir-et-Cher quand les combats ont
débuté.
1942 : Winston Churchill autorise le recrutement de femmes, plus adaptées à certaines missions délicates que lance le Special Operations Executive (SOE), une organisation secrète destinée à soutenir la résistance européenne à l’ennemi nazi. Difficile pourtant de trouver l’oiseau rare disponible… On les veut vives, intelligentes, courageuses, audacieuses, et séduisantes si possible ! C’est ainsi que les trente-neuf candidates de la section F (comme France) viennent d’horizons multiples à l’image même de leurs motivations. Leur formation sera brève, mais militaire – maniement des armes, sabotage, endurance à la torture, etc. Leur histoire pleine de rebondissements et, pour treize d’entre elles, terriblement dramatique est étrangement méconnue en France.
Pendant ses quatre mois d’activité dans la région parisienne, elle maintint le contact radiotélégraphique avec Londres, l’informant sur les terrains de parachutage et sur les réseaux. Elle réussit à transmettre vingt messages1, malgré l’environnement particulièrement dangereux en raison de l’effondrement général du réseau Prosper-PHYSICIAN et des moyens de détection radiogoniométriques que l’ennemi concentra sur son émetteur. Mais elle fut finalement trahie, arrêtée, emprisonnée, reprise deux fois à l’occasion de tentatives d’évasion, déportée, maintenue à l’isolement et enchaînée pendant neuf mois à Pforzheim. Elle est finalement exécutée à Dachau, sans avoir jamais parlé ni coopéré avec l’ennemi.
Après deux autres agents du SOE, Odette Sansom et Violette Szabo, Noor Inayat Khan fut la troisième femme à qui le Royaume-Uni a décerné la George Cross. Elle fut également décorée de l’Ordre de l’Empire britannique, et par la France de la croix de guerre 1939-1945.
La section RF expédia environ 500 agents, les livraisons de matériel pour cette section étaient assurées par le Bureau d’opérations aériennes dans la zone Nord et par le Service d’atterrissages et parachutages dans le sud. La section AMF expédia environ 650 agents (la plupart en uniforme) dont un tiers américains, presque tous en liaison avec l’opération Dragoon, le débarquement franco-américain sur la Côte d’Azur en août 1944.
Avec l’approche du débarquement en Normandie, le commandant des opérations du SOE fut transféré au SFHQ sous la direction de SHAEF du général Eisenhower. Le général Koenig, qui avait déjà été nommé chef des FFI prit le commandement des sections F et RF le 1er juillet 1944.
Ravitaillement
Plus de 10 000 tonnes de matériel de guerre, la plupart armes légères, munitions et explosifs furent expédiées par SOE aux comités de réception en France au cours des années 1941-1944.
Plus de 10 000 tonnes de matériel de guerre, la plupart armes légères, munitions et explosifs furent expédiées par SOE aux comités de réception en France au cours des années 1941-1944.
Parfois, surtout pendant la phase clandestine, il était nécessaire d’envoyer les marques qui ne s’identifiaient pas comme provenant de Londres. Pour le combat ouvert, l’important était de choisir, parmi les armes d’usage courant, celles qui permettaient l’emploi des munitions prises aux allemands. Pour la plupart, ce matériel fut parachuté et dans quelques cas, expédié par opérations maritimes. Le point culminant fut atteint au moment du débarquement en Normandie.
Opérations aériennes
Le
transport aérien fut assuré pour SOE, comme pour tous les services
spéciaux britanniques, par la RAF. Au début, avant 1941, il n’y
avait pas plus de 5 avions disponibles. En novembre 1942 il y en
avait 27 et au printemps de 1944, 36. Plus tard, le nombre augmenta
considérablement grâce à la participation de l’USAAF, qui permit
vols en masse et en plein jour.
Au
début, il n’y eut que l’escadrille n° 138, mais après, le RAF
fournit une deuxième, n° 161. Ensuite le n° 138 assura
exclusivement des parachutages, alors que le n° 161 s’occupa des
atterrissages et, lorsque cela était possible, quelques
parachutages.
Le n° 161 avait sa base à Tempsford, avec plus tard, un terrain auxiliaire à Tangmere. L’avion par excellence pour les atterrissages était le Westland Lysander, spécialement adapté pour déposer et ramener des agents. En 1943-1944 on utilisait aussi le Lockheed Hudson, qui avait une capacité plus grande, comme, plus tard, le Douglas Dakota.
Le n° 161 avait sa base à Tempsford, avec plus tard, un terrain auxiliaire à Tangmere. L’avion par excellence pour les atterrissages était le Westland Lysander, spécialement adapté pour déposer et ramener des agents. En 1943-1944 on utilisait aussi le Lockheed Hudson, qui avait une capacité plus grande, comme, plus tard, le Douglas Dakota.
258
agents furent déposés en France et 433 ramenés en Angleterre, plus
de 1 200 parachutages furent accomplis. La survivance des réseaux
dépendait du courage et du dévouement de ces équipages ainsi que
de l’habileté et de la ténacité des équipages des avions de
transport, à savoir les Whitley, les Halifax et les Stirling,
utilisés pour le parachutage des agents et du ravitaillement. Plus
de 1 200 agents et plus de 10 000 tonnes de matériel furent
parachutés. Inévitablement il y eut des pertes d’avion et de
personnel.
Opérations maritimes
Pendant les premiers mois de son existence, SOE n’avait pas d’autre option que d’utiliser la voie de mer pour le transfert clandestin des agents et l’envoi du matériel. Même plus tard, lorsque les transports aériens purent offrir une meilleure solution pour le nord de la France, la, demande pour les opérations maritimes continua dans le sud du pays et dans d’autres cas spéciaux. Barques de pêches bretonnes, vedettes lance-torpilles, felouques méditerranéennes, sous-marins, vaisseaux marchands armés furent tous mis en service.
SOE
essaya, parfois avec succès, d’organiser de façon indépendante
ses propres opérations mais dut, la plupart du temps, opérer dans
les limites du système imposé par l’Amirauté qui avait tendance
à favoriser les demandes de l’Intelligence Service.
Néanmoins une importante contribution fut faite, ou par SOE, ou au
nom de SOE. À part des débarquements individuels et des opérations
de "ramassages" pour les sections F et RF, la ligne
d’évasion VAR, de la section DF, qui, entre l’hiver 1943 et
l’été 1944 fit échapper quelques 70 personnes, se termina par
une traversée à partir de la côte nord de la Bretagne. Il n’y
eut aucune perte de passagers. Deux felouques, avec un équipage
polonais de la section EU/P transporta un total de 600 agents, soit
de Gibraltar dans le sud de la France, soit plus tard, d’Afrique du
Nord en Corse. Après son installation en Corse, SOE assura des
opérations maritimes en France et en Italie.
Radio
Les
liaisons radiotélégraphiques étaient l’élément vital des
activités de presque tous les réseaux. L’étendue de leur
vulnérabilité était considérable.
Si les opérateurs radio
émettaient sans changer d’emplacement, ils couraient le grand
danger d’être repérés par l’ennemi, dont les équipes de
repérage était extrêmement efficaces. Si, pour éviter ce danger,
les opérateurs changeaient fréquemment leur lieu d’émission, ils
risquaient d’être arrêtés pendant leurs déplacements ou, tout
au moins, de révéler leurs activités à un trop grand nombre de
personnes. Quant à la durée de leur émission, elle devait être
aussi courte que possible et pourtant les messages d’importance
capitale devaient être transmis à tout prix. C’est pourquoi
l’espérance de vie d’un radio était cruellement courte, estimée
généralement à six semaines. Néanmoins, en juin 1944, SOE avait
déjà établies plus de 150 liaisons WT entre la France et Londres.

La Signals
Section de SOE pouvait faciliter la tâche des opérateurs
en leur procurant des codes qui n’étaient jamais "cassés",
et un service de décryptage dont les membres étaient passionnément
dévoués et déterminés à lire les messages souvent altérés,
sans avoir à les faire répéter.
Messages
personnels
Autres
appareils utilisés par SOE : l' "Euréka", une balise de
radioguidage pour indiquer l’emplacement précis du terrain de
réception à l’avion qui approchait et le S-phone, qui permettait
à l’agent au sol de communiquer avec l’avion.
Le
débarquement
Les
Réseaux SOE jouèrent un rôle considérable en semant la confusion
parmi les Allemands dans les arrières de l’ennemi au moment du
débarquement en Normandie et en disloquant les transports de
matériel et des renforts vers le front. La destruction des lignes
téléphoniques obligea l’ennemi à transmettre ses messages par la
radio où les alliés pouvaient les intercepter et les déchiffrer.
Le
délai de 16 jours infligé à la 2e Panzer Division Das
Reich en route de Montauban à Caen, et celui de 21 jours
infligé à la 11e Panzer Division en route de l’Alsace vers la
Normandie, sont seulement les exemples les plus marquants. Aussi,
lors du débarquement dans le Midi de la France, la route pour les
armées alliées fut maintenue ouverte.
C’est à cette époque que les groupes Jedburgh - groupes formés et armés par SOE et consistant en théorie, mais pas toujours en pratique, d’un britannique, d’un américain et d’un français, tous en uniforme - furent envoyés en France avec la tâche de coordonner le soulèvement armé des groupes de résistance avec les plans envisagés par les alliés.
L’aide
de la Résistance aux forces alliés, équipée et soutenue par SOE,
était si considérable que le Général Eisenhower a reconnu sa
valeur comme l’équivalent de 5 à 6 divisions. Il a été aussi
dit que cette aide avait raccourci la guerre de six mois.
Il
faut répéter que rien de ceci n’aurait été possible sans
l’immense dévouement, courage et sacrifice de la Résistance
française. Mais ses efforts n’auraient pas non plus abouti et pris
une importance militaire sans l’aide fournie par SOE, par ses
volontaires et ceux qui ont souffert et donné leur vie pour la
cause. Ils furent ambassadeurs en France et les survivants continuent
de l’être.
texte rédigé à partir de Documents
fournis par le docteur Pierre Morel,
liquidateur des réseaux Buckmaster
liquidateur des réseaux Buckmaster
Roger Cornevin -Hayton
Qui devions nous admirer le plus en ces nuits de pleine lune… le sang froid de ces équipages du Commonwealth composé majoritairement d’anglais, canadiens, australiens, sud africains, néo zélandais et polonais.. ou la détermination des comités de réception au sol, composés d’hommes au courage énorme, conscients du danger mais prets à se sacrifier pour la cause de la résistance ?

LES RESISTANTS
LIRE sur "Sées " Extraits de mon journal sagien "
le soe et le boa orne radio londres1940 1944
L appel de churchill et du general de gaulle radio londres 1940 1944
LA BBC ARME DE GUERRE
Deux agents secrets de la france libre parachutés à sées
nuits de parachutages
nos quatre gendarmes etc...
LA GUERRE DES Ténébres
ETC;;;
TRACT ANGLAIS invitant les français à prendre garde à la confiscation des postes date 1942
tract 20 X 13
Ce tract qui porte le nouvel horaire des émissions de la BBC annonce que la confiscation des postes de radio a commencé en France à l instar de ce qui se passe en Norvège Pologne ou en Grèce
ll insiste sur la nécessité de les conserver par tous les moyens pour rester en contact avec les alliés le jour venu " votre poste de radio est une arme dont on ne peut exagérer l importance